Après une montée sur Paris bien gérée, afin de nous laisser 3 heures de marge à l'aéroport CdG, c'est avec une joie immense que nous apprenons le retard de l'avion. Initialement prévu pour 13h30, celui-ci se retrouve retardé d'approximativement 9 heures à cause d'un problème technique survenu à Atlanta...
Premier effort de la compagnie en la faveur des voyageurs : un repas offert à 13h à l'Hippopotamus de l'aéroport. Ce repas allait inaugurer, sans que nous le sachions, un week-end de bouffe gratuite !
Finalement, vers 18h, nous passons dans la zone duty free afin de poursuivre vers le satellite où notre vol était affecté. Allez ! On achète un fromage qui pue avant de partir? La fouille des bagages se révèle être une étape banale, et ma ceinture se révèle être la seule pièce métallique potentiellement dangereuse.
Dans le satellite, l'attente suit son cours... Le magazine de l'aéroport, franchement naze, finit par retourner sur le présentoir. La population du satellite est très majoritairement américaine : un avant goût du séjour? Le numéro de porte finit par faire son apparition...
Salade à base de feta, tomates, concombres (bon)Bon, le service était très rapide, mais pour un repas gratuit, on va pas se plaindre !
Dinde et frites (bon)
Sorbet de fruits rouges (bon)
"_ Allez monsieur, finissez votre assiette... Je vous met votre sorbet sur la dinde pour gagner un peu de temps..."L'attente est longue, et les quelques boutiques de l'aéroport sont rapidement visitées : le syndrome du poisson rouge montre ses bons côtés dans un terminal circulaire, mais le cerveau humain reprend vite le dessus. Le petit vieux qui lisait son Penthouse a finalement décidé de partir, nous privant ainsi d'un spectacle comique à souhait, et l'après-midi sera majoritairement composé d'une glande extrèmement active sur les siège à essayer de prévenir qui de droit des 2 côtés de l'Atlantique.
Finalement, vers 18h, nous passons dans la zone duty free afin de poursuivre vers le satellite où notre vol était affecté. Allez ! On achète un fromage qui pue avant de partir? La fouille des bagages se révèle être une étape banale, et ma ceinture se révèle être la seule pièce métallique potentiellement dangereuse.
Dans le satellite, l'attente suit son cours... Le magazine de l'aéroport, franchement naze, finit par retourner sur le présentoir. La population du satellite est très majoritairement américaine : un avant goût du séjour? Le numéro de porte finit par faire son apparition...
Puis c'est l'avion qui fait la sienne...
La fin du calvaire est proche; l'embarquement a lieu quelques dizaines de minutes plus tard. Les places sont étroites, et l'avion se positionne en fleuron de la technologie actuelle : le pad de contrôle du siège accuse les siècles de par l'effacement des indications et la couche de crasse préservant naturellement le plastique des agressions extérieures...
Un charmant bambin, vraisemblablement privilégié, a eu la chance de visiter le cockpit... Au final, ce connard de gamin affectionnant la maltraitance du siège devant lui, se révèle être la cause de notre non-départ imminent, faute de boucler sa ceinture (et sa gueule, accessoirement). La mioche de devant, elle, préfère sauter sur son siège à nous regarder d'un air béat en bavant.
Lorsque ledit coupable s'exécute, l'hôtesse américaine s'exclame avec joie :
Je n'ai pas tapé dans l'oeil des hotesses. Du steward par contre... Celui-ci nous a servi un repas relativement correct, pendant que je me regardais un épisode des Simpsons sur un écran LCD d'un peu plus de 2''.
La fin du calvaire est proche; l'embarquement a lieu quelques dizaines de minutes plus tard. Les places sont étroites, et l'avion se positionne en fleuron de la technologie actuelle : le pad de contrôle du siège accuse les siècles de par l'effacement des indications et la couche de crasse préservant naturellement le plastique des agressions extérieures...
Un charmant bambin, vraisemblablement privilégié, a eu la chance de visiter le cockpit... Au final, ce connard de gamin affectionnant la maltraitance du siège devant lui, se révèle être la cause de notre non-départ imminent, faute de boucler sa ceinture (et sa gueule, accessoirement). La mioche de devant, elle, préfère sauter sur son siège à nous regarder d'un air béat en bavant.
Lorsque ledit coupable s'exécute, l'hôtesse américaine s'exclame avec joie :
"_ Ooooooooooh ! Good boooy !"Le nombre de 'o' est exact, ce n'est pas une exagération afin de mettre en valeur un accent américain féminin particulièrement laid.
Je n'ai pas tapé dans l'oeil des hotesses. Du steward par contre... Celui-ci nous a servi un repas relativement correct, pendant que je me regardais un épisode des Simpsons sur un écran LCD d'un peu plus de 2''.
Raviolis de boeuf (bon)2 heures de sommeil chaotique suivent le visionnage de Rocky Balboa (5 minutes pendant). Et cette traversée de l'Atlantique se termine par une descente particulièrement douloureuse pour mes petites oreilles. Visiblement, mon cerveau tenait absolument à sortir par les tympans, bien que je m'obstinais à le convaincre de l'impossibilité de cette action.
Beurre doux hollandais (2 mots en trop pour inciter à la consommation)
Petit moulé ail et fines herbes sur crackers (bof les crackers)
"Orange" trempant dans son "jus" (c'était de l'orange ou de l'ananas?)
Cochonnerie à la pâte d'amande (mangée sans respirer)
Coke (format américain, soit 25mL de plaisir en plus)
Petit Célébration (voui, voui, faut laisser fondre sous la langue, vu la taille du truc...)
Café (quelques minutes plus tard, franchement bof)
L'avion s'est posé... La suite au prochain épisode !
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