Gneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee? Que pasa?
Réveil matin, 12 heures, j'me réveille comme une fleur... Petit dej découverte : le beurre de cahuète donne une vague idée de la texture de la merde pour un goût rapidement écoeurant, le lait est composé à 98% d'eau et le reste de sel, de colorant et de la semence de l'éleveur, et les céréales... sont commes en France, ouf !
Le maître de stage, voyant nos mines le jour précédent, a eu la très sage idée de nous accorder un jour de repos... Raaaaaah lovely ! Réunion au sommet, prise de décision : ballade-découverte-courses.
Yeaaaaah ! C'est parti mon Kiki.
Départ de la maison, mise en application des explications données la veille pour se diriger vers une des zones commerçantes.
Premier constat : les USA sont boisés, très boisés même. En même temps, avec un territoire de cette taille, faudrait vraiment être con pour tout déboiser ! Bref, ça ne fait que confirmer mon impression acquise la veille sur la route : nos 4 voies ne sont pas très joyeuses en comparaison. Bon, ensuite, c'est sur que nous on pollue moins !
Je reprend donc, c'est vert, ça fait piou-piou, tss-tss de tous les côtés, et c'est vraiment très agréable... Oui, cher lecteur, tu ne te trompes pas, je ne caresse pas l'ennemi dans le sens du poil sans vouloir lui assener un coup de pioche dans l'os occipital... Il y a donc un "mais"... Mais putain ! Qu'est-ce qu'il fait chaud, bordel !
On passe à côté du terrain de golf de l'UMD, puis viennent les marais, où subsistent quelques traces d'une tempête...
Ces marais sont l'occasion de découvrir des créatures étranges, premiers animaux d'une longue liste que nous allons voir au cours de ces 3 mois. En digne héritier de Darwin, je classifie cette animal dans la catégorie des libellules, et lui donne le doux nom latin de bestiolus marecagus. Vous remarquerez au passage le bouillonement du potage en arrière plan, signe d'une flore et d'une faune au delà de mes espérances.
Le chemin continue, et nous mène finalement à notre objectif : la zone... Après une traversée de route périlleuse, nous pouvons enfin procéder à nos emplettes.
Le retour se fait par la route justement, avec tous les nouveaux risques que cela comporte : la voiture américaine est un animal puissant et rapide guidé par un "cerveau" nerveux. Face à cette nouvelle menace, le trottoir anorexique donne une vague idée de la vision qu'a Indiana Jones lorsqu'il traverse le pont suspendu au dessus d'un fleuve infesté de crocodiles et autres saloperies aquatiques peu fréquentables...
Bon, au final, avec les voitures qui arrivent dans le dos, c'est moins impressionant. Et au moins, à la vitesse à laquelle ils vont, on est sur d'être tué sur le coup sans le savoir si un imbécile perd le contrôle. On découvre aussi la joie de la cuisson "à point" lors du passage d'un bus climatisé, puisque les ingénieurs américains ont eu l'idée prodigieuse de placer l'évacuation de la clim' côté trottoir. Sans doute pour punir les malheureux piétons de ne pas avoir les moyens de prendre le bus...
Au passage je tiens à signaler une autre merveille issue des cerveaux des ingénieurs de ce beau pays : le réseau électrique. Les Belges se plaignent souvent de la difficulté de déployer un réseau électrique enterré, du fait de la difficulté d'enterrer les poteaux, mais les Américains ne sont pas mieux : des dizaines de poteaux en bois goudronnés arborrent les abords des routes, dans un enchevêtrement de cables laissant rêveur... Pas étonnant que l'électricité soit la première chose manquante en cas de tempête...
La fin du trajet se fait sans encombre, et la fin de la journée ne mérite pas d'être racontée, quand bien même vous êtes curieux de savoir comment se déroule la vie d'une larve.
Le maître de stage, voyant nos mines le jour précédent, a eu la très sage idée de nous accorder un jour de repos... Raaaaaah lovely ! Réunion au sommet, prise de décision : ballade-découverte-courses.
Yeaaaaah ! C'est parti mon Kiki.
Départ de la maison, mise en application des explications données la veille pour se diriger vers une des zones commerçantes.
Premier constat : les USA sont boisés, très boisés même. En même temps, avec un territoire de cette taille, faudrait vraiment être con pour tout déboiser ! Bref, ça ne fait que confirmer mon impression acquise la veille sur la route : nos 4 voies ne sont pas très joyeuses en comparaison. Bon, ensuite, c'est sur que nous on pollue moins !
Je reprend donc, c'est vert, ça fait piou-piou, tss-tss de tous les côtés, et c'est vraiment très agréable... Oui, cher lecteur, tu ne te trompes pas, je ne caresse pas l'ennemi dans le sens du poil sans vouloir lui assener un coup de pioche dans l'os occipital... Il y a donc un "mais"... Mais putain ! Qu'est-ce qu'il fait chaud, bordel !
On passe à côté du terrain de golf de l'UMD, puis viennent les marais, où subsistent quelques traces d'une tempête...
Ces marais sont l'occasion de découvrir des créatures étranges, premiers animaux d'une longue liste que nous allons voir au cours de ces 3 mois. En digne héritier de Darwin, je classifie cette animal dans la catégorie des libellules, et lui donne le doux nom latin de bestiolus marecagus. Vous remarquerez au passage le bouillonement du potage en arrière plan, signe d'une flore et d'une faune au delà de mes espérances.
Le chemin continue, et nous mène finalement à notre objectif : la zone... Après une traversée de route périlleuse, nous pouvons enfin procéder à nos emplettes.
Le retour se fait par la route justement, avec tous les nouveaux risques que cela comporte : la voiture américaine est un animal puissant et rapide guidé par un "cerveau" nerveux. Face à cette nouvelle menace, le trottoir anorexique donne une vague idée de la vision qu'a Indiana Jones lorsqu'il traverse le pont suspendu au dessus d'un fleuve infesté de crocodiles et autres saloperies aquatiques peu fréquentables...
Bon, au final, avec les voitures qui arrivent dans le dos, c'est moins impressionant. Et au moins, à la vitesse à laquelle ils vont, on est sur d'être tué sur le coup sans le savoir si un imbécile perd le contrôle. On découvre aussi la joie de la cuisson "à point" lors du passage d'un bus climatisé, puisque les ingénieurs américains ont eu l'idée prodigieuse de placer l'évacuation de la clim' côté trottoir. Sans doute pour punir les malheureux piétons de ne pas avoir les moyens de prendre le bus...
Au passage je tiens à signaler une autre merveille issue des cerveaux des ingénieurs de ce beau pays : le réseau électrique. Les Belges se plaignent souvent de la difficulté de déployer un réseau électrique enterré, du fait de la difficulté d'enterrer les poteaux, mais les Américains ne sont pas mieux : des dizaines de poteaux en bois goudronnés arborrent les abords des routes, dans un enchevêtrement de cables laissant rêveur... Pas étonnant que l'électricité soit la première chose manquante en cas de tempête...
La fin du trajet se fait sans encombre, et la fin de la journée ne mérite pas d'être racontée, quand bien même vous êtes curieux de savoir comment se déroule la vie d'une larve.
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