L'aventure du 14 Juillet va commencer.
Un nouveau protagoniste va se joindre à notre bande : un de nos professeurs en France, venu pour constater que tout allait bien (pourquoi irait-ce mal ?). Petit tour en metro, arivée à D.C., la journée est lancée.
Première étape? Faire un peu de tourisme pour le prof. Maison Blanche, Capitole, musee d'art, ... Puis bouffe ! Direction la Old Post Office, pour y manger un burger qui se revelera franchement dégueu. Glande à table, puis l'on monte au sommet de la tour de la Post Office pour profiter du panorama. Bon, ya un peu redite par rapport à la première visite à D.C., mais bon... Direction le Potomac désormais, afin de le longer et de monter vers Georgetown, où se trouve l'ambassade. Prise de conscience d'un retard certain, accélération toute aussi certaine vers notre destination, jambes hurlant de désespoir...
Georgetown apparaît comme un quartier extrèmement sympathique : un côté commerçant très prononcé, un côté résidentiel 'achement convivial...
La montée est dure, la descente vers l'ambassade voit les minutes s'écouler, dépassant l'heure d'arrivée supposée.
Arrivée à l'ambassade, présentation du passeport, passage dans le portique de sécurité... On se croirait aux USA. Ah merde ! Géographiquement parlant, on y est...
File d'attente, les langues se délient, pas forcément en Français à mon grand étonnement. On constate rapidement que les costumes sont à l'honneur, pour fêter le 250ème anniversaire de la naissance de LaFayette. Entrée dans le bâtiment, passage au vestiaire, serrage de main de quelques officiels (c'est qui l'ambassadeur ?), puis orgie !
Ah uai, la faut pas avoir peur des mots, j'aurais presque pu en avoir les larmes aux yeux si j'avais été un chouïa plus sensible... De la bouffe, Française, et bonne de surcroit.
Je n'ai pas pris de photo d'une part à cause de la foule, et d'autre part parce que j'étais plus occupé à m'en foutre plein la panse. En vrac comme ça, pour vous donner une idée, nous avions de la charcuterie, du fromage, des gâteaux, et à boire. J'ai majoritairement carburé aux macarons (raaaaaaaaah ! Lovely !), gâteau au chocolat, semblant de gâteau breton et galettes bretonnes (et uai, la Bretagne, ça déchire au niveau bouffe), même si j'ai testé un petit pain au pâté. Pis pour faire passer le tout, un petit verre de blanc pas dégueu, suivi de quelques bières. Oui oui, quelques, je dois avouer que j'ai assez rapidement perdu le compte. En fait, grâce à la magie de la délocalisation temporelle dûe à l'écriture, vous pensez que j'ai mangé puis bu, voire fait les 2 à la fois, alors qu'en fait j'ai commencé par l'alcool, puis j'ai mangé, comme on me l'a toujours appris. Ah non? C'est pas dans ce sens là?
Bref, la bière me manquait... Face à une foule imposante, un repli stratégique vers les pelouses fut voté. A partir de ce moment, ce fut la glande la plus pépère que j'ai pu expérimenter depuis mon arrivée aux USA. Repérage environnant : le costard est de mise, mais je me sens tout à fait correct en jean, chemisette et pompes de skate. Les filles ne sont pas véritablement intéressantes, je retiens mon envie frénétique de tendre un croc-en-jambe aux gosses courant partout et l'alcool coule à flot partout où se pose mon regard.
Après une photo souvenir prise avec des demoiselles d'époque (elles sentaient pas trop le renfermé pourtant), le départ est décidé. C'est parti pour de la marche ! Alcool aidant, les jambes s'en foutent royalement désormais, les yeux profitent du spectacle offert Georgetown de nuit. A faire dans le futur ! Le groupe se sépare à la bouche de métro entre ceux qui rentrent en métro justement, et ceux qui rentre en voiture. Je suis dans le camp du métro bien évidemment, c'est diantrement plus rigolo !
Après le métro, mes jambes trouvent la marche à pied jusqu'à la maison profondément hilarante (un peu moins de 4km pour vous faire une idée). La tête n'y est plus, le corps avance seul, le sommeil se fait sentir. Conclusion, c'est fini pour aujourd'hui, c'est l'heure du dodo !
Première étape? Faire un peu de tourisme pour le prof. Maison Blanche, Capitole, musee d'art, ... Puis bouffe ! Direction la Old Post Office, pour y manger un burger qui se revelera franchement dégueu. Glande à table, puis l'on monte au sommet de la tour de la Post Office pour profiter du panorama. Bon, ya un peu redite par rapport à la première visite à D.C., mais bon... Direction le Potomac désormais, afin de le longer et de monter vers Georgetown, où se trouve l'ambassade. Prise de conscience d'un retard certain, accélération toute aussi certaine vers notre destination, jambes hurlant de désespoir...
Georgetown apparaît comme un quartier extrèmement sympathique : un côté commerçant très prononcé, un côté résidentiel 'achement convivial...
La montée est dure, la descente vers l'ambassade voit les minutes s'écouler, dépassant l'heure d'arrivée supposée.
Arrivée à l'ambassade, présentation du passeport, passage dans le portique de sécurité... On se croirait aux USA. Ah merde ! Géographiquement parlant, on y est...
File d'attente, les langues se délient, pas forcément en Français à mon grand étonnement. On constate rapidement que les costumes sont à l'honneur, pour fêter le 250ème anniversaire de la naissance de LaFayette. Entrée dans le bâtiment, passage au vestiaire, serrage de main de quelques officiels (c'est qui l'ambassadeur ?), puis orgie !
Ah uai, la faut pas avoir peur des mots, j'aurais presque pu en avoir les larmes aux yeux si j'avais été un chouïa plus sensible... De la bouffe, Française, et bonne de surcroit.
Je n'ai pas pris de photo d'une part à cause de la foule, et d'autre part parce que j'étais plus occupé à m'en foutre plein la panse. En vrac comme ça, pour vous donner une idée, nous avions de la charcuterie, du fromage, des gâteaux, et à boire. J'ai majoritairement carburé aux macarons (raaaaaaaaah ! Lovely !), gâteau au chocolat, semblant de gâteau breton et galettes bretonnes (et uai, la Bretagne, ça déchire au niveau bouffe), même si j'ai testé un petit pain au pâté. Pis pour faire passer le tout, un petit verre de blanc pas dégueu, suivi de quelques bières. Oui oui, quelques, je dois avouer que j'ai assez rapidement perdu le compte. En fait, grâce à la magie de la délocalisation temporelle dûe à l'écriture, vous pensez que j'ai mangé puis bu, voire fait les 2 à la fois, alors qu'en fait j'ai commencé par l'alcool, puis j'ai mangé, comme on me l'a toujours appris. Ah non? C'est pas dans ce sens là?
Bref, la bière me manquait... Face à une foule imposante, un repli stratégique vers les pelouses fut voté. A partir de ce moment, ce fut la glande la plus pépère que j'ai pu expérimenter depuis mon arrivée aux USA. Repérage environnant : le costard est de mise, mais je me sens tout à fait correct en jean, chemisette et pompes de skate. Les filles ne sont pas véritablement intéressantes, je retiens mon envie frénétique de tendre un croc-en-jambe aux gosses courant partout et l'alcool coule à flot partout où se pose mon regard.
Après une photo souvenir prise avec des demoiselles d'époque (elles sentaient pas trop le renfermé pourtant), le départ est décidé. C'est parti pour de la marche ! Alcool aidant, les jambes s'en foutent royalement désormais, les yeux profitent du spectacle offert Georgetown de nuit. A faire dans le futur ! Le groupe se sépare à la bouche de métro entre ceux qui rentrent en métro justement, et ceux qui rentre en voiture. Je suis dans le camp du métro bien évidemment, c'est diantrement plus rigolo !
Après le métro, mes jambes trouvent la marche à pied jusqu'à la maison profondément hilarante (un peu moins de 4km pour vous faire une idée). La tête n'y est plus, le corps avance seul, le sommeil se fait sentir. Conclusion, c'est fini pour aujourd'hui, c'est l'heure du dodo !
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