06/10/2007

Rigolons un peu...

Non non les amis, ce blog n'est pas mort...
Oui oui, rigolons un peu, avec le blog et Google...

Certaines personnes tombent par accident sur ce blog au cours de leur recherche, et certaines recherches sont tellement sympa que je tenais à vous en faire profiter. De même, dans la mesure du possible, je vais essayer d'aider les gens qui tombe sur le blog par erreur.

Commencons par "la musique est un cri". Bah celui la c'est le champion : j'ai beau chercher dans les résultats, je ne vois pas le blog ! Y-a-t-il des courageux qui vont jusqu'aux 40èmes pages de résultat ? On le retrouve sous 2-3 variantes différentes aussi.
Vient ensuite "un breton aux states". Il est pas drôle celui-là, mais c'est le descriptif du blog, donc... De même pour "tekabaka".

Il y a la Bretagne aussi qui attire, avec "comment dire bonne nuit en breton" (c'est Noz vat, et merci d'être resté aussi longtemps à lire mes articles), "groupe breton de music korn" (là, désolé, mais je ne connais pas de groupe de zik Breton dans le style de KoRn...), "quartier breton a new york" (je ne l'ai pas visité).

Passons aux étranges : "nyc yellow cab produits dérivés" (une photo, ça te va ?), "air state créer son aeroport" (oui, oui, c'est cela), "reggae welcome to america écoute" (yeeeaaaah man !), et j'en passe... Visiblement, avec des trucs bizarres, on arrive à tomber ici...

Ensuite il y a les complètement fous : "testicules taureau new-york" (je les ai touchées, elles sont grosses), "quel sera la hauteur de la mouvelle tour,qui remplacera les deux tour du world trace center" (absolument aucune idée, Google non plus d'ailleurs), "magasin vendant du files barbeles" (pour empêcher les écureuils d'attaquer ta maison ?), "limace" (là, je peux plus rien faire pour toi...), et mon chouchou "testicules arrachées" (aaaïïïïïïïïïïïïïïe !).

Voilà, c'était un article pourri, et j'en suis fier !

P.S. : Merci au Hongrois et au Coréen qui sont passé, mais qui n'ont pas dû bien comprendre ce qui se passait ici...

10/09/2007

WtA : Game Over

"Everything that has a beginning has an end."
The Oracle, The Matrix Revolutions

Ca y est, c'est fini.
Dimanche 26 août, nous sommes officiellement SDF.
Le bail n'était signé que jusqu'au 26, afin de permettre aux étudiants américains d'emménager avant leur rentrée la semaine suivante.
Après un combat de longue haleine quelques jours auparavant contre la proprio pour obtenir notre caution à notre départ (qu'elle devait nous rendre 15 jours plus tard, juridiction mon cul !), plus rien ne nous retient ici. Une nuit chez des amis, puis un mini road-trip à 3, afin de profiter du temps qui nous reste aux USA, suivi d'une visite à nos compatriotes à Dayton, OH et enfin du retour en France, est le programme de la suite.
Bref, l'aventure du blog va bientôt toucher à sa fin... Quelques articles pour relater les derniers jours, et il n'aura plus de raison d'être. Il changera d'adresse pour laisser la place à un nouveau blog, activité pseudo-journalistique à laquelle j'ai finalement pris goût.
Une semaine restante, mais sans doute une semaine des plus intenses, en mode touriste, sans objectif autre que de découvrir encore ce pays.
En clair, stay tuned ! Le blog ne crève que quand je le dis !

04/09/2007

Un Breton a New York [3]

Suite et fin de l'histoire...

Nous quittons l'hôtel de bon matin pour ce qui s'annonce être une courte journée dans le sud de Manhattan. Après un dernier regard pour le Queens, quelques dizaines de minutes dans le metro, nous nous retrouvons dans Battery Park, et quelques centaines de mètres nous séparent d'une vue sur la Statue de la Liberté.
Sur le chemin se trouve une relique du 09/11, une structure de métal qui tronait sur la place du World Trade Center et qui fut dégradée au cours des attentats, sans pour autant disparaître...
Nos pas nous amènent rapidement vers la zone bondée des embarquadères des ferries vers la statue. Nous préférons nous contenter d'une vue de la rade et de quelques photos de la statue qui trône au loin...
Nous remontons vers Wall Street via Broadway, toujours elle, et au passage nous tombons sur le Taureau de Wall Street, célèbre pour apporter bonne fortune financière aux personnes qui toucheront ses testicules. Mon porte-monnaie n'a pourtant cessé de se vider tout au long de la journée... J'ai du me planter quelque part...
Après un passage rapide par Wall Street, nous rejoignons le World Trade Center et Ground Zero, où une foule de gens est présente. Rien ne semble pousser dans ce sol alors que le projet de nouvelle tour est au goût du jour.
De là une remontée vers Chinatown est décidée, quartier atteint quelques minutes après passage devant le pont de Brooklyn.
Chinatown est un beau bordel de gens, de boutiques, d'épiceries... Les boutiques pour touristes vendent de tout, du classique t-shirt aux cochons volants en passant par les tortues domestiques. Les épiceries vendent tout ce qui est inutile si l'on ne cuisine pas asiatique, certains se boucheront le nez, d'autres baveront en pensant à tout ce qu'on peut en faire.
Little Italy est la suite logique de notre parcours. La foule y est moins dense, le spectacle y est différent. C'est un quartier où les restaurants poussent comme de l'herbe, et où les serveurs haranguent les passants afin de les inciter à venir s'asseoir à leurs tables. Impossible de consulter le menu sans se faire aggresser par un serveur rital, qui ne s'appitoie pas sur nos "Ma, ma ?" de stupeur... La faim se fait sentir et nous tombons volontairement dans les griffes d'un serveur afin de nous nourrir. Après un repas délicieux (du pain des pates, raaaaaaaaaaaah), la route se poursuit vers le SoHo.
Le SoHo est encore plus bordélique que Chinatown, mais en conserve l'esprit. Des boutiques pour touristes envahissent les trottoirs, et à ces mêmes endroits, il n'est pas rare d'entendre quelqu'un passant à côté de nous lancer le mot "Rolex, Rolex" discrètement.
Nous rejoignons la 8th en métro, et nous nous y balladons pour passer le temps en attendant l'heure d'embarquement en car. Les sex-shops sont aussi fréquents que les attrapes-touristes, et la pluie qui menaçait depuis le matin se décide enfin à tomber doucement. C'est l'occasion pour moi de manger un hot-dog de rue avant de quitter la ville, juste pour la forme, nonobstant les protestations de mon estomac qui me promettait de tout rendre si j'avalais un truc de plus...
Après de longues minutes d'attentes dans la gare, l'aventure à NYC se termine. La pluie bat les vitres pendant que le car perd du temps dans les embouteillages, nous promettant une arrivée tardive à la maison...
Alors, NY ? Bah le t-shirt que j'y ai acheté reflète bien mes pensées en titrant : "New York Fuckin City". C'est immense, bondé, mais putain, c'est vraiment quelque chose à voir au moins une fois dans sa vie !
Plein de souvenirs, plein de photos...

Article écrit sur fond de Thom Yorke et de Finger Eleven.

26/08/2007

Blog en veille...

Mes chers amis,
A partir du 26, et jusqu'au 3, mes situations géographiques et informatiques seront indéfinies.
C'est pourquoi je vous annonce une mise en veille temporaire du blog.
Merci de votre compréhension.

Votre blogueur préféré.


Si toi y en avoir rien compris, moi y en a partir maison, moi y en a vadrouiller région, moi y en a écrire articles ensuite (toute ressemblance avec une certaine aventure d'Astérix est purement volontaire).

J'ai eu la joie aujourd'hui d'expérimenter la conduite de voiture Américaine, avec des conditions impeccables (nuit, orage et pluie), de découvrir la joie des boîtes automatiques (ne bouge surtout pas le pied gauche, ne le bouuuuge surtout pas !), ou du frein à main de merde (aucune fausse emphase nécessaire, puisque c'est vraiment le cas) qui ne sert pas à grand chose à cause de la position P de la boîte et qui même enclenché permet de conduire la voiture, malgré une légère olfaction de brulé qui oblige à rapidement corriger le problème...

C'est parti pour de folles aventures !

24/08/2007

Un Breton a New York [2]

Les rayons du soleil caressent ma peau en la réchauffant. La brise marine souffle un air pur au travers de la pièce. Le cri des goëlands berce cette douce matinée.
Gneuwah ? Les yeux au plafond, les draps arrachés du lit, je réalise que je suis dans une chambre d'hôtel dans le Queens. Crap ! Réveil lent de mes deux compères devant les news, où nous apprenons le meurtre d'un New Yorkais lors d'une soirée en ville.
Direction la station de métro après nous être enfin décidé à bouger. Un pass de 6 trajets en poche, l'aventure peut commencer : après le passage dans le hachoir à légume, direction Lexington Avenue via la ligne E, puis la 6 direction le Bronx (non, vous ne rêvez pas), afin de s'arrêter à 96th St, bien avant le Bronx (je vous ai bien eu). De là, direction Central Park, le coeur de Manhattan. Après un arrêt au Starbucks sur notre trajet afin de procéder à un remplissage nécessaire de l'estomac, la journée peut enfin commencer.
Des joggers, des cyclistes, des marcheurs, on voit de tout : c'est LE coin des sportifs. Après un rapide tour du grand lac, où la nature se révèle être une goutte d'eau dans la jungle urbaine, direction les pelouses centrales, où nous profitons d'un bref moment pour ne rien faire du tout, si ce n'est faire comme tous les autres New Yorkais. Reprise de la marche à travers les bois, passage par le château, descente vers le second lac majeur, direction prise vers le sud, la traversée du parc suit son cours et se révèle extrèmement agréable. Les oiseaux et les Tic&Tac sont présents, mais une nouvelle espèce fait son apparition : la tortue !
Sortis du parc, choix est fait de se diriger vers la 5th Av. Après un arrêt (obligatoire) au Apple Store, nous descendons l'avenue symbole de la richesse de la ville. Le seul magasin retenant notre attention parmis les boutiques de "luxe" est le World of Disney, où tout fan des univers créé par la compagnie du même nom devrait faire son pélerinage au moins une fois par an : tous les produits dérivés sont trouvables, de la vaisselle aux vêtements en passant par les classiques peluches.
La 5th Av se révélant très vite lourde de par son caractère friqué est abandonnée au profit d'une réorientation vers Broadway. Entre les deux avenues, nous tombons sur le M&M's Store, où tous les fans des produits culinaires de la compagnie du même nom devraient faire leur pélerinage au moins une fois par an : tous les produits dérivés sont trouvables, de la vaisselle aux peluches en passant par l'assortiment des M&M's de votre choix parmis les nombreux coloris proposés.
Au passage, mes 2 compatriotes se laissent croquer par un caricaturiste de trottoir...
Les boutiques de touristes et d'électronique sont foison dans Broadway; je vous conseille d'ailleurs de ne pas acheter dans les secondes : pris de base d'une carte SD de 2 Go fixé à $299, ça fait foutrement mal au fondement...
La journée touche à sa fin, Broadway se révèle moins attrayante au fil de sa remontée, le choix est fait de filer se faire un cinoche à Time Square.
Arrivé là bas, je tombe sur, accrochez vous : Samuel Lee Motherfucking Jackson ! J'ai même la photo pour vous le prouver ! Bon, à cause d'un bug de la matrice, mon visage est remplacé par un manchot, et le premier qui me dit que c'est une statue de cire, je lui arrache les testicules, et je lui les fait bouffer avec de l'ail, les filles je leur pardonne...
Le Regal nous ouvre ses portes pour assister à la projection de Bourne Ultimatum (je l'ai vu avant vous, na na ni na nèèèèèèèreuh), projection se clôturant par les applaudissement de l'assemblée, pratique ne m'étant connue que pour les avant-premières en France et radicalement non implantée du côté de DC.
Time Square de nuit nous en fout plein les mirettes : les cartes postales ne peuvent pas rendre compte de la luminosité, du clinquant et de la foule rassemblée en ce lieu. En 2 mots : ça déchire ! Mais comme je suis atteint de tremblote aigüe et que le Canon pose 1 seconde en mode nuit, bah toutes mes photos du coin sont floues... Pas la peine de raler, c'est trop tard maintenant.
Retour en métro vers le Queens, où une bonne nuit de sommeil nous aidera à préparer le dimanche à venir...
Ce sera tout pour aujourd'hui ! L'épisode III pour bientôt !

Article écrit sur fond de FatBoy Slim.

21/08/2007

Un Breton a New York [1]

C'était écrit : New York se devait d'être un passage obligé de mon périple américain.
Après une préparation à la rache, une chambre d'hôtel réservée, un trajet en car sélectionné, le départ a lieu vendredi 17 à 10h et quelques patates : 4 petites heures de voyage en car vers la Big Apple !
Allez, commençons : le car, c'est... étrange. Aux USA le train coûte cher, et le voyage en car est assez économique. Mais bon, avec des cars qui arrivent à la bourre, et un prise en charge par le personnel à la fois chaotique et proche de 0, on est loin d'être arrivé ! Les informations ne sont pas claires : on ne sait pas si le car stationné devant le bâtiment est celui de 8h30 avec du retard ou celui de 10h30. Merde quoi ! Un petit écran d'info c'est pas compliqué, surtout pour une compagnie de cette ampleur...
Mais bon, une fois qu'on est parti, ça vaut le train : sièges encore moins confortable, mais télé en plus ! Bon, le film était un gros navet qui pue, mais quand même c'est sympa.
Arrivée en vue des grattes-ciel ! Baaaaah, c'est grand ! Le car emprunte un tunnel pour rejoindre Manhattan et débarque dans... Euh attendez, c'est quoi ça ? Le car débarque dans la zone, aux rues encadrées de vieux immeubles délabrés. Le moral en prend un coup : c'est pas comme ça dans les films !
Le car se range au sous-sol d'une gare routière, et la sortie du bâtiment nous file une grande claque dans la gueule. Les bureaux du NYT trônent face à nous, et nous surplombent de leur hauteur impressionante. Nous sommes dans 8th Avenue, direction Time Square pour commencer. Time Square, c'est... Comment dire... Un beau bordel ! Un monde fou, des enseignes lumineuses partout, des immeubles immenses... Pour le dépaysement, c'est gagné !
Objectif suivant : l'Empire State Building. On y arrive, on le prend en photo, puis on s'en va. En regardant les photos prises je souris intérieurement face à notre bêtise. C'est pas l'ESB, mais un autre building tout aussi grand. Bon, arrêtez de vous marrer, ça arrive à tout le monde de se planter, et au moins je le reconnais !
On continue à marcher dans Broadway : cette rue parcourt tout Manhattan, et prendrais des heures à parcourir. Au rendez-vous : des magasins, des restos, des boutiques... Tout ce que vous voulez ! Les boutiques souvenirs sont dans une guerre intestine : celle qui fera le plus de t-shirts pour le même prix... Les 3 pour 10 de DC sont loin : ici on commence à 5 pour 10 et certains poussent le vice jusqu'à 7 pour 10 ! La qualité ne fait absolument aucun doute, mais c'est rigolo.
Après une autre déclaration de guerre lancée par la pluie, une sage décision est prise... Repli stratégique vers l'hôtel ! Un problème se pose : le Yellow Cab. Alors on en voit partout : ouvrez les yeux, il y en a 4, fermez-les puis rouvrez-les, il y en a 5, encore une fois, 3, et ainsi de suite... Mais bon, ils sont tous pris à 90%, donc c'est naze ! Le premier qui s'arrête fuit en voyant l'adresse de l'hôtel, en dehors de sa juridiction. Le second veut bien de nous, et c'est parti pour une petite virée entre les buildings direction Long Island... Comment ça, non ? Ah, l'hôtel est dans le Queens nous indique notre chauffeur d'origine haïtienne fort sympathique... Bon bah c'est parti quand même ! La pluie bat contre les vitres, Manhattan s'éloigne derrière nous, le Queens s'approche. Je rêve déjà du panorama de l'île que je vais faire depuis la fenêtre de la chambre d'hôtel
Arrivée à l'hôtel trempée, le temps de faire les 3 mètres séparant le taxi de la porte, formalités exécutées, direction la chambre. La vue plongeante de la fenêtre sur la décharge du coin réchauffe mon coeur et l'atmosphère imprégnée de tabac embaume mon coeur tandis ce que mon appareil photo me glisse des doigts et que ma machoire se fracasse sur le sol... Le Queens, c'est vraiment... (la photo a été prise le lendemain, le temps que je répare l'appareil, d'où le ciel bleu)
Une petite ballade de quartier afin de trouver un coin où se nourrir s'impose : après une rapide prise de renseignement auprès de l'accueil de l'hôtel nous laissant le choix entre les fast-food d'un côté et les pas fast-food d'un autre, direction les fast-food quelques rues plus loin. Arrivés quelques rues plus loins, direction le coin des pas fast-food en espérant trouvé un resto d'ouvert dans la zone tandis que l'estomac crie famine.
On finit par tomber sur un dinner où nous pourrons subvenir à nos besoins sans problème, qualité et prix en prime. Première grande découverte : à NY, on inclut le service dans l'addition !
Retour digestif vers l'hôtel où une bonne nuit de sommeil nous attend afin de préparer le corps à la rude journée qui l'attend.
Oui, oui, il va y avoir une suite à cet article...
Et oui, oui, les photos sont pas tops parce que je suis un goret qui sais jamais quel mode utilise sur l'APN...

Article écrit sur fond de Limp Bizkit et de White Zombie.

15/08/2007

WtA : 10 ans plus tard...

Vincent: I got a threshold, Jules. I got a threshold for the abuse that I will take. Now, right now, I'm a fuckin' race car, right, and you got me in the red. And I'm just sayin', I'm just sayin' that it's fuckin' dangerous to have a race car in the fuckin' red. It could blow.
Pulp Fiction

Marrant...
Je l'avais predit...
J'avais predit que la proprio trouverait quelque chose pour nous (m') en faire baver encore une fois avant la fin...

J'aurais preferer me tromper...

Je viens d'apprendre il y a quelques minutes que je devrais encore une fois changer de chambre (le 23) avant la fin de notre sejour (le 26), afin de laisser la place a un etudiant. Ma nouvelle chambre serait ainsi le taudis qui sert de piaule a la proprio, pendant qu'elle dormirait sur le canape. Je regrette de ne pas avoir pris de photo lorsqu'elle avait laisse la porte ouverte afin de vous montrer l'etendu des degats...

A l'heure actuelle j'ai 2 envies : me barrer en France, et recuperer mes thunes du loyer du mois.

Je vais patienter sagement jusqu'au 23, et le jour-j, lorsqu'elle voudra me faire demenager, je lui ferai gentillement comprendre qu'elle peut aller se faire mettre par son carpenter dans le lieu de son choix. Point.

Comme l'a savamment fait remarquer ma coloc : j'ai deja eu a subir une chambre temporaire en debut de sejour, desormais, ce n'est plus a moi de bouger : le nouveau pourra patienter 2 jours dans une chambre temporaire, puis aura tout le loisir d'occuper ma piaule lorsque je ne serai plus la...

Je clos cet article par "..." parce que je sais tres bien que l'histoire n'est n'est pas finie...

Desole pour les accents : je suis au labo, pas de clavier Fr, et la flemme de bidouiller pour les avoir.

09/08/2007

2/3 du chemin derrière ou 1/3 du chemin devant ?

Alors ? Plutôt optimiste ou pessimiste ?
Un cap a été franchi : je suis arrivé le 9 juin, je repars officiellement le 5 septembre. Nous sommes le 9 août. 2 mois de stage derrière moi... Moins d'un mois devant.
Le blog va aussi franchir un cap : 20 articles bientôt ! Ca vaudrait presque le coup de fêter ça !
Je me rends compte que j'ai réussi à en faire ce que je veux, même si je ne peux pas tout faire ce que je voudrais. C'est mon petit lien avec la France pour faire part de mon expérience, mais à côté de ça je n'écris pas autant que je le voudrais.
En un mois je vais encore écrire des articles : j'ai des séries d'articles à terminer, des suites à créer à mes histoires, des choses à vous montrer. Cela faisait une semaine que je n'avais pas écrit, mais ne vous estimez pas encore débarassé de moi ! Je vais vous mener la vie dure.
Le stage s'est amélioré : mon premier chef est parti pour 2 semaines, laissant la place au sous-chef qui devient dès lors le premier chef par intérim. Plus clair, cahier des charges plus simple et plus réaliste, objectifs intéressants. Je pense que ça aurait pu me plaire si je ne m'étais pas dégouté de ce stage dès le début ! Bon, au final, c'est toujours chiant au plus haut point, la faute notamment au serveur sur lequel je travaille qui est trèèèèèès lent, mais au moins j'ai du boulot, et ça justifie ma venue aux USA.
Brad a fini par bouger ses affaires ! Cela faisait une semaine qu'elles squattaient le salon, ne pouvant les descendre puisque les travaux de la proprio au sous-sol n'étaient pas encore finis. Au passage, Brad boit beaucoup, sans doute des origines chez les Tic&Tac : bières, whisky-coca... Ses soirées sur le canapé sont intriguantes. Mais il est sympa, donc...
La proprio est égale à elle même. Je ne lui adresse pas la parole, donc tout va pour le mieux : dès qu'elle parle elle m'irrite les tympans, donc j'essaie de ne pas l'encourager à le faire.
Le carpenter, dont j'ai enfin découvert le nom (comme je le présentais : Juan, avec une jota imprononçable dans la langue de Shakespeare, d'où le Ouane), est toujours aussi incompétent. Il a aidé Brad à descendre ses canapés. J'ai préféré intervenir en montrant qu'on pouvait faire pivoter les canapés, plutôt que de le laisser agrandir les portes à la masse pour faire passer le canapé...
La coloc en elle même mériterait un article, donc je pense que je n'ai rien à dire à ce sujet pour le moment.

C'était un peu 3615 c'est ma vie aujourd'hui, mais je m'étais fixé l'écriture de 2 articles ce soir, et je n'avais pas envie d'en faire un deuxième dans le style du précédent.

Bref, je vous souhaite à tous une bonne journée, moment auquel j'espère que vous lirez cette note.





Pis j'écris de la merde si je veux, d'abord !

Article écrit sur fond de... Ah bah zut : j'ai le casque sur les oreilles, mais pas de musique !

Au pays des zanimos... [1]

Aujourd'hui nous allons explorer le monde merveilleux et mystérieux des animaux. Dans cette belle nature américaine foisonne la vie sous toutes ses formes, et c'est ce que nous allons tenter de vous faire découvrir aujourd'hui...

Nous allons commencer par le Bambi. Le Bambi est un machin appartenant à la famille des cervidés. Il mesure à tout casser un mètre et quelques grosses patates et doit peser un poids suffisant pour en faire un bon rôti (avec les patates). C'est un animal doux et farouche, ne laissant guère les intrus s'approcher de lui sans s'enfuir. Il mange le matin ou le soir, ne sort pas de la journée, vraisemblablement pour dormir. Son régime est à base de légumes, de l'herbe aux feuilles. Le Bambi, pour ne pas paraître peureux, sort souvent en groupe. Le plus souvent avec sa meuf et son morveux, il ne réchigne pas sur une sortie de famille avec les beaux-parents, du moment qu'il ne soit pas seul face à des inconnus, situation dans laquelle il perdrait ses moyens et s'évanouirait sans attendre. Le Bambi sur la photo était tout seul, car il sortait d'une cuite avec son pote Tac (que nous verrons plus loin), et avait ainsi gagné en courage, ou folie, au choix...
Le suivant sur la liste est le Donald. C'est un plumeau sur pattes, très hautain et macho. Toujours avec sa gonzesse, il ne la quitte pas des yeux, afin d'éviter qu'on lui la pique. Il se déplace bien dans les airs, pas trop mal dans l'eau et à l'air profondément stupide sur la terre ferme. C'est un animal sobre, contrairement à d'autres, il mange assez de cochonneries comme ça entre les vers et les insectes. Il mesure un tibia, et ne pèse pas grand chose en comparaison du Bambi.
Les Tic&Tac sont des animaux que je ne vous présentai pas : vous les connaissez déjà ! Ces alcooliques notoires pullulent de jour comme de nuit, défèquent depuis les branches, vomissent derrière les touffes d'herbe, voire les deux en même temps, afin de contrebalancer les effets de l'alcool. Ils font environ 2 mètres de haut et pèsent 110 kilogrammes, sauf de jour, où ils paraîssent beaucoup plus petit.
Le Beurk est un animal très intéressant : c'est en effet l'évolution, au sens Pokémonien du terme, de tout animal luttant contre une voiture... Ici en l'occurence vous pouvez découvrir l'ACNI, Animal (peu) Courant Non Identifié. Aperçu à plusieurs reprises, mais jamais assez lent pour laisser le temps de dégainer, c'est vraisemblablement un gros rongeur de type ragondin. Il doit vraisemblablement être profondément laid pour fuir à ce point les touristes. La photo ci-présente ne permet pas de décrire objectivement son apparence, puisque très peu d'animaux ont adopté le port externe de leurs viscères. Bref, l'ACNI reste encore un mystère à ce jour et le restera probablement longtemps...
Pour finir cet article, nous allons parler du Kaa. C'est un animal très moche, qui paraît être passé sous un rouleau compresseur puis roulé. Il est décliné en de nombreuses tailles, couleurs, et peut être équipé de venin si vous souscrivez à cette option. Bon, celui là je l'ai pris en photo de près parce qu'avec sa taille, il n'aurait même pas pu mordre un de mes doigts. Mais les autres ils sont un peu plus impressionants : genre XXL ou bouche armée...
Nous regrettons l'absence du Robin des Bois dans cet article, il n'est aparu qu'une fois, de nuit, et n'a pas laissé le temps à votre serviteur de dégainer l'appareil...

En Hors-Sujet lié à cet article, je tiens à vous informer de la disparition probable du Baiji, dauphin blanc chinois, des suites de conneries provoquées par l'homme. Une étude internationale dont les résultats ont été publiés aujourd'hui émet cette hypothèse plus que probable. Alors si vous voulez que je raconte des bêtises sur les animaux, il faudrait déjà qu'on les dégomme pas tous les uns après les autres. C'était mon coup de gueule du soir. Merci de votre compréhension.


P.S. : pour ceux qui n'ont pas compris, je me suis largement inspiré de Disney pour nommer ces braves bêtes.

Article écrit sur fond de Prodigy.

01/08/2007

Welcome to America : remise des prix.

Ah bah bien évidemment ! Mon film Welcome to America dure depuis assez longtemps pour mériter quelques menues récompenses...
Alors est nominée dans la catégorie voleuse : la proprio, pour ses vols divers et variés dans le frigo. Sa prestation, pas plus tard que ce matin, dans le vol de mes tablettes de chocolat pour les mettre dans un de ses tiroirs à légumes n'est pas passée inaperçue et a provoqué l'émoi de la populace. On pourra la retrouver en rôle vedette prochainement dans le futur blockbuster de l'automne qu'est Il y a de la mort-aux-rats dans mes céréales ou le très attendu Ne m'enfonce pas la perceuse dans la rotule !
Bref, que du lourd !
Nous passons désormais à la catégorie menteuse où est nominée : la proprio ! Encore ? Ah... OK... On me signale dans l'oreillette que je ferai mieux de fermer ma gueule plutôt que d'exprimer mes sentiments en direct-laÿve-from-ze-plato et qu'il n'y aucune contre-indication aux nominations multiples. Je reprend donc... Son rôle poignant dans mon éjection de la chambre du sous-sol pour y réparer les dégats causés par l'innondation, s'étant par la suite révélé être un prétexte pour héberger Bobby afin qu'il exécute de nombreux travaux dans le sous-sol, qui au final n'était autre qu'une magouille afin de préparer la chambre pour un nouveau locataire, est tout bonnement ahurissant mes chers amis ! Vous pourrez la retrouver à la fin du mois dans un film auto-produit nommé Je n'ai aucune obligation de vous rendre la caution.
Dans la catégorie film d'horreur ambulant est nominé Bob l'éponge. De son vrai nom "Ouane" (infirmation obtenue auprès de sources phonétiques reconnues), ce chicano travaillant au noir s'est rapidement fait connaître pour sa sympathie à dégonder une porte de prison ainsi que son hygiène à faire retourner Pasteur dans son caveau. On retiendra de lui des rôles clés tels que Je pose mes outils sur la table à manger ou Je laisse pourrir ma bouffe sur la table du salon. Facilement reconnaissable à sa démarche lente et lourde rappelant le brontosaure des temps immémoriaux, ainsi qu'à ses soupirs à décorner les boeufs, cet individu restera bien après sa mort comme un être à part.
Vient le tour du meilleur second rôle, ou est nominé Brad. Gnnééééé ? Kikicé Brad ? Brad est un jeune personnage méconnu qui joue actuellement dans Hello, je suis l'nouveau locataire, que vous pourrez voir dans toutes les bonnes boulangeries. C'est un individu travaillant (pas au noir), au mobilier conséquent, et visiblement débordé par son emménagement. Après lui avoir proposé notre aide, il nous a promis de nous bouger où on voulait (sauf en Virginie du nord, radin !), et après quelques meubles, canapés et autres cartons déplacés, est allé nous chercher une caisse de Miller Lite au Liquor Shop du coin... Après la dégustation de cette première bière Américaine, Brad s'impose comme un individu très aimable et visiblement au train de vie intéressant. Un homme à suivre, certainement pas à abattre !
Bref chers lecteurs, c'est loin d'être fini ! Moins d'un moins, mais un programme néanmoins intéressant. Restez branchés sur notre chaîne, nous vous en dirons plus en temps et en heure.

P.S. :
Le propriétaire des 17 kg de cheveux cachés dans l'aspirateur est prié de se signaler à l'accueil, merci !

Uaaaaaaai ! La touffe est tombée grâce aux bons soins d'un de mes collocs : le résultat est observable dans l'encart supérieur droit du blog, où tronait fièrement mon avatar simpsonesque.

Article écrit sur fond de Maximum the Hormone.

26/07/2007

10 choses qui différencient les USA de la France [1]

Chuck :
On aurait pu avoir Jean-Claude Van Damme, mais au final, il est Belge. Les ricains, eux, ont Chuck. J'ai effectué mon pélerinage spirituel en me matant un episode de Walker Texas Ranger en V.O. et en me recueillant devant un appareil de remise en forme...
On le voit surtout a la TV, ou dans les magasins vendant des articles visant à l'élévation spirituelle via la musculation.

Les ecureuils :
Le symbole des USA, ce n'est pas l'aigle, mais l'écureuil. L'écureuil est un joli petit animal à 4 pattes et à la queue touffue, plus ou moins farouche mais toujours vif. Il se déplace gracieusement sur le sol par petits bonds et avec agilité lorsqu'il grimpe aux arbres... Quel bel animal... Par contre, Disney et consors, vous êtes bien sympas, mais vous avez brisé mes espérances d'enfant : l'écureuil ne mange pas de noisettes ! Nan nan, pas du tout : l'écureuil est un clochard ! Il passe son temps a farfouiller dans les poubelles, à boire des bières en lachant des rots retentissants et ne fout rien de la journée... Triste monde...

La bouffe :
Ouais, bon, j'avoue : elle était facile celle là.

La pub' (1):
Les Américains sont incontinents. En France, la coupure pub' de milieu de film sert généralement à procéder à une menue vidange de fluides organiques. Aux USA, c'est pareil. Sauf qu'il y a approximativement 10 coupures pubs par film. En gros, pour regarder un film de 2 heures, il en faut 3 !
De même, via un autre de mes calculs savants, j'en déduis que la vessie américaine standard peut contenir environ 1.5L de Diet Coke.

Les fenetres/volets :
Les fenêtres adoptent toute le modèle guillotine, ca rajoute du piment aux relations avec les voisins :
Cindy ouvre la fenêtre et aperçoit son voisin Bobby qui tond la pelouse dans son plus simple appareil. Elle passe la tête par la fenêtre et lui lance :
"Hi Bobby !"
Bobby lève la tête, reconnaît sa voisine et tout en souriant, lui répond :
"Hey Cindy ! How ya doin'?"
C'est à ce moment que la fenêtre décide de retomber sur la nuque de notre Cindy, qui ne résiste pas à la pression et cède dans un craquement à faire pâlir une Cracotte de jalousie.
The End.
Autre nouveauté : les volets sont inamovibles ! Esthétiquement, ça se discute. Pratiquement, c'est naze...
Et pour finir, ils ajoutent une deuxième porte à la porte d'entrée... Le seul intérêt que j'y ai trouvé, pour le moment, est de créer une zone bâtarde, qui ne bénéficiera ni de la châleur de l'extérieur, ni de la fraîcheur de notre demeure. En effet, cette zone de 5cm de profondeur va vite acquérir une température avoisinant les 1700°C, permettant de tuer instantanément toutes les bactéries que porte l'individu souhaitant entrer, et l'individu par la même occasion.

Les taxes :
Pays de la carte banquaire par excellence, aux USA, aucun prix indiqué n'est TTC. Ca surprend la première fois où l'on paie en liquide, alors qu'on avait gentiment préparé la somme exacte... En général, toute personne payant en petite monnaie est instantanément lapidée à jets de bouteilles de Coke de 2L... Quand on vous dit que le paiement par carte banquaire est sur !

Le système métrique :
2L !? Que dis-je ! 1/2 gallon, excusez-moi ! Bon, le problème ici, c'est que eux n'y sont pas encore, comme 2 autres pays dans le monde... Prenons l'exemple des volumes, vous allez voir, c'est tres simple :
Un gallon, c'est 4 quarts, soit 8 pints, soit 16 cups ou même 128 fluid ounces ! En métrique, ça donne 3,79L... Comment ça vous ne comprenez pas? C'est pas compliqué pourtant !

Article écrit sur fond de Velvet Revolvers.

25/07/2007

[Important : Patch 3.0.1] Welcome to America : le remake bouseux.

Dépêche exclusive :
La proprio nous a accusé d'avoir détraqué le broyeur de l'évier qu'elle a elle même cassé et qui a été réparé hier.
Les travaux n'ont pas encore commencé, bien évidemment.
L'ouvrier qui va exécuter les travaux n'est autre que... Et oui ! Bob l'éponge is back !
Bob l'éponge est hébergé dans mon ancienne chambre pour la durée des travaux.
Bob laisse toujours trainer ses outils et affaires sales sur la table à manger.
Mes bananes ont disparu du frigo, et ce n'est pas la première fois que des produits à nous disparaissent, sans compter les divers réaménagements des étages du frigo.
La proprio ne nous a toujours pas remboursé les M&M's qu'elle nous avait officiellement volé.
Ma Dendrobate est morte écrasée dans le canapé sans avoir pu mener à bien sa mission.
Mon Hemiscorpius la remplace et a commencé sa mission dès le décès de sa commère.
J'arrête de dire des bêtises pour ce soir.

24/07/2007

Welcome to America : le remake bouseux.

Cet article va être court, intense et impulsif. Merci de votre compréhension.
Ce soir en rentrant de notre journée de stage, nous avons eu la joie de découvrir un message de notre charmante propriétaire, en séjour dans sa demeure pour une dizaine de jour, et ce, depuis une dizaine de jour.
Dans la présente missive, cette grognasse me sommait d'évacuer le sous-sol où j'ai élu domicile il y a 1 mois et demi, sur son ordre. Comme vous vous en souvenez, ma chambre était alors occupée par un intrus non prévu par le contrat, mais béni par la propriétaire, et je n'avais pas vu l'intêret par la suite de changer de chambre, me plaisant bien dans la fraicheur de la cave.
Bref, cette sale vache boiteuse, après m'avoir imposé le sous-sol, veut me le faire quitter, en raison de travaux qu'elle compte faire à ce niveau, suite à la légère innondation survenue il y a 2 semaines. Elle précise de plus que les machines à laver et à sécher le linge seront inaccessibles jusqu'à la fin de la semaine.
Cette aberration de la nature a, de surcroît, téléphoné à notre tuteur de stage, qui s'est empressé de nous retransmettre l'information par mail, inconscient du désir charnel sauvage dont notre immondice sus-cité semble éprouver à son égard.
Ayant décidé de prendre le risque de voir un peu de poussière sur mes affaires restant à la cave et de ne monter que le strict nécessaire pour la période des travaux, vous imaginez ma surprise lorsque j'apprends par mes colocataires que la proprio me somme sur le champ de changer de chambre, les travaux allant s'étaler jusqu'au 8 août.
Glp...

Pendant que mes yeux reluquent le jeu de clé allen que j'ai gardé en souvenir de Bob l'éponge (il les avait laissé trainer sur mon bureau), en calculant rapidement le coefficient de pénétration du métal dans l'os temporal, les colocs ne manquent pas de préciser que bien évidemment, la proprio va rester superviser les travaux durant cette même période...
Arglp... Kof Kof !

Manquant de m'étouffer à cette nouvelle, je réussis tout de même à envisager les possibilités offertes par la torture au coupe-ongles, jusqu'à ce que mes compagnons m'achèvent en m'annonçant que l'animal se propose de m'aider à déménager...
... Bwahahahah !

Ma main s'empare alors de mon tesson de bouteille fétiche, et sans plus attendre, je cours à l'étage pour abréger les souffrances de la truie (pour le moment je l'innondais de mauvaise ondes néfastes et maléfiques afin de lui briser le moral, et de lui faire imploser un organe avec un peu de chance). malheureusement, j'ai été retenu par les colocs.
J'ai donc déménagé toutes mes affaires ce soir, j'ai raté mon épisode de futurama, je n'ai pas pu jouer a Pokémon, je me trouve dans une pièce surchauffée par le soleil de la journée, et j'ai tué mentalement d'environ 7 manières différentes le truc qui nous sert de proprio... Mais il fallait que j'écrive cet article tout de suite, sans quoi il n'aurait pas la même saveur...
Sur ce, les amis, je vais me coucher, mais je dois d'abord nourrir ma Dendrobate, avant de la laisser se ballader librement dans la chambre de ma délicieuse propriétaire...

22/07/2007

Résultats du sondage...

Mesdames et messieurs, c'est merveilleux ! Le nombre de participants a été phénoménal et s'élève à 26 personnes, m'obligeant à reconduire l'expérience de tous vous sonder. Bon, je passe sous silence les tricheurs qui ont voté plusieurs fois, mais le geste y est... Snif, c'est beau.
Au final :

  • 12 d'entre vous veulent voir plus d'articles sur moi, soit 46% des votants,
  • 3 veulent plus d'articles sur les USA, soit 11%,
  • 3 aussi souhaitent plus d'articles hors-sujet, toujours 11%,
  • et 8 aimeraient voir des dessins, soit 30% d'entre vous.
Bien, nous pouvons donc passer aux conclusions. Etant donné qu'aucune possibilité n'a la majorité absolue, je vais devoir organiser un deuxième tour...

Mais naaaaaaaaaan ! J'déconne ! Pour qui vous me prenez ? Pour un rigolo ? Je suis le seul maître à bord après Dieu, et comme il a pas pointé le bout de son nez encore, je suis le seul maître à bord tout court !

Bref, je vous remercie d'avoir pris part à ce sondage, qui me donne une idée de ce que vous attendez, mais pas forcément de ce que sera ce blog. Si j'avais voulu faire du kikoo lol 3615 cay ma layfe loft story 24/7, j'aurais été me créer un compte sur skyblog bien avant ce blog. Bref, je pense que vous avez compris.
Pour ce qui est des dessins, je suis flatté de la confiance que vous avez placé en mes facultés artistiques, mais celles-ci ne sont guère élaborées. En clair, vous pouvez courir pour avoir des dessins !
Pour les USA et le HS, c'est à dire la raison de créer ce blog et le style me plaisant le plus, c'est vexant... Je vous déteste tous, et je vais de ce pas supprimer ce blog.



Bwahahahaha ! Vous y avez cru ?
Bon, et finalement, on s'en fout ! J'ai créé ce sondage pour faire mumuse, et il n'y avait aucune implication. Déçus ? La vie est cruelle, j'avoue.
Mais dans l'avenir, il y aura forcément un peu de tout ça dans le blog, donc j'espère que tout le monde saura s'en contenter, et que personne ne me jettera la pierre (j'ai dit la pierre, hein ! pas le parpaing !).
Bref les amis, restez dans le coin !

P.S. : ceci était un article de merde, je l'accorde, mais j'ai rien trouver de mieux à faire. Merci de votre compréhension.

Article écrit sur fond de Stone Sour.

Q.I.-zine [2]

Bonjour, et bienvenue à notre nouvelle émission de cuisine, "Cuisinons dans les bois, pendant que l'écureuil me casse les noix".
Alors aujourd'hui, qu'allons nous préparer? Nous allons préparer un délicieux brownie pour votre dessert !
Vous êtes prêts? C'est parti !
Tout d'abord, vous aurez besoin de plusieurs ingrédients :
  • de la poudre (oui, encore de la farine !)
  • du gras (aujourd'hui, on liposuce un Américain pour les besoins du gâteau !)
  • double ration de goût (du sucre, et, et ? Non, pas des olives, mais c'est presque ça. Pas de poulet non plus, mais tu brûles... Ah oui ! Je l'ai entendu. Oui, toi ! Voilà, du chocolat !)
  • du liant (silicone pour cette fois si vous avez une star de ce beau pays sous la main, ou oeuf, encore et toujours)
  • des bouts de truc (les noix cassées par l'écureuil)
Et maintenant on passe aux choses sérieuses :
  • On commence par faire fondre le chocolat au micro-ondes avec un peu d'eau. Bieeeeen ! Essayez de ne pas trop manger de morceaux de chocolat pendant que vous le cassez. Je sais, c'est dur...
  • Sortez le beurre (du frigo, pas de la cuisine), et travaillez-le pour le ramollir. Etonnez-vous de son odeur et de sa texture. Regardez attentivement ce que l'on vous a conseillé d'acheter dans le magasin et sursautez de stupeur en découvrant que ce n'est pas d'une bonne vieille vache laitière dont vient ce beurre, mais d'un animal asiatique méconnu appelé Soja. Ricanez en imaginant déjà l'état final du gâteau qui lui vaudra un allez direct dans la poubelle...
  • Ajoutez le sucre au liquide réfrigérant que vous malaxez, et continuez en ce sens. Ajoutez la farine, et ne vous arrêtez pas.
  • Cassez les oeufs, récupérez (tous, ou pas, selon votre goût) les morceaux de coquille qui ont pu se glisser dans votre récipient, puis touillez encore.
  • Regardez votre pâte d'un air méchant parce qu'elle a une texture informe. Plongez les doigts pour tenter de supprimer les grumeaux, et ralez encore un coup parce que ça n'est pas possible...
  • Versez le chocolat fondu dans le récipient, léchez le bol, puis mélangez la pâte.
  • Laissez votre regard s'illuminer de joie en découvrant que le chocolat camoufle totalement la texture immonde de la pâte.
  • Allez dans le jardin avec une grenade à fragmentation, jetez-la contre l'arbre de l'écureuil, abritez-vous. Récupérez les noix entre les pattes encore fumantes de l'animal, et revenez les ajouter à votre pâte en retirant au maximum les poils, brindilles et os.
  • Versez-la dans un moule trop grand garni de papier sulfurisé, et enfournez moi ça pour une vingtaine de minutes. Piquez au bout de 20 minutes parce qu'il n'est pas vraiment cuit...
  • Sortez-le du four au bout de 40 minutes, laissez-le refroidir, puis ôtez-le du moule. Installez un périmètre de sécurité doté de fils barbelés électrifiés.
  • Attendez la fin du repas pour le servir, et battez-vous avec les autres pour en avoir une part.
A la prochaine !

P.S. : j'ai passé sous silence les pestages divers contre les mesures et conversion d'unités, mais ils étaient bien présents.

Article écrit sur fond de Hinder.

16/07/2007

Anatomie d'un 4 Juillet aux USA : 14 Juillet-edit !

L'aventure du 14 Juillet va commencer.

Un nouveau protagoniste va se joindre à notre bande : un de nos professeurs en France, venu pour constater que tout allait bien (pourquoi irait-ce mal ?). Petit tour en metro, arivée à D.C., la journée est lancée.
Première étape? Faire un peu de tourisme pour le prof. Maison Blanche, Capitole, musee d'art, ... Puis bouffe ! Direction la Old Post Office, pour y manger un burger qui se revelera franchement dégueu. Glande à table, puis l'on monte au sommet de la tour de la Post Office pour profiter du panorama. Bon, ya un peu redite par rapport à la première visite à D.C., mais bon... Direction le Potomac désormais, afin de le longer et de monter vers Georgetown, où se trouve l'ambassade. Prise de conscience d'un retard certain, accélération toute aussi certaine vers notre destination, jambes hurlant de désespoir...
Georgetown apparaît comme un quartier extrèmement sympathique : un côté commerçant très prononcé, un côté résidentiel 'achement convivial...
La montée est dure, la descente vers l'ambassade voit les minutes s'écouler, dépassant l'heure d'arrivée supposée.
Arrivée à l'ambassade, présentation du passeport, passage dans le portique de sécurité... On se croirait aux USA. Ah merde ! Géographiquement parlant, on y est...
File d'attente, les langues se délient, pas forcément en Français à mon grand étonnement. On constate rapidement que les costumes sont à l'honneur, pour fêter le 250ème anniversaire de la naissance de LaFayette. Entrée dans le bâtiment, passage au vestiaire, serrage de main de quelques officiels (c'est qui l'ambassadeur ?), puis orgie !
Ah uai, la faut pas avoir peur des mots, j'aurais presque pu en avoir les larmes aux yeux si j'avais été un chouïa plus sensible... De la bouffe, Française, et bonne de surcroit.
Je n'ai pas pris de photo d'une part à cause de la foule, et d'autre part parce que j'étais plus occupé à m'en foutre plein la panse. En vrac comme ça, pour vous donner une idée, nous avions de la charcuterie, du fromage, des gâteaux, et à boire. J'ai majoritairement carburé aux macarons (raaaaaaaaah ! Lovely !), gâteau au chocolat, semblant de gâteau breton et galettes bretonnes (et uai, la Bretagne, ça déchire au niveau bouffe), même si j'ai testé un petit pain au pâté. Pis pour faire passer le tout, un petit verre de blanc pas dégueu, suivi de quelques bières. Oui oui, quelques, je dois avouer que j'ai assez rapidement perdu le compte. En fait, grâce à la magie de la délocalisation temporelle dûe à l'écriture, vous pensez que j'ai mangé puis bu, voire fait les 2 à la fois, alors qu'en fait j'ai commencé par l'alcool, puis j'ai mangé, comme on me l'a toujours appris. Ah non? C'est pas dans ce sens là?
Bref, la bière me manquait... Face à une foule imposante, un repli stratégique vers les pelouses fut voté. A partir de ce moment, ce fut la glande la plus pépère que j'ai pu expérimenter depuis mon arrivée aux USA. Repérage environnant : le costard est de mise, mais je me sens tout à fait correct en jean, chemisette et pompes de skate. Les filles ne sont pas véritablement intéressantes, je retiens mon envie frénétique de tendre un croc-en-jambe aux gosses courant partout et l'alcool coule à flot partout où se pose mon regard.
Après une photo souvenir prise avec des demoiselles d'époque (elles sentaient pas trop le renfermé pourtant), le départ est décidé. C'est parti pour de la marche ! Alcool aidant, les jambes s'en foutent royalement désormais, les yeux profitent du spectacle offert Georgetown de nuit. A faire dans le futur ! Le groupe se sépare à la bouche de métro entre ceux qui rentrent en métro justement, et ceux qui rentre en voiture. Je suis dans le camp du métro bien évidemment, c'est diantrement plus rigolo !
Après le métro, mes jambes trouvent la marche à pied jusqu'à la maison profondément hilarante (un peu moins de 4km pour vous faire une idée). La tête n'y est plus, le corps avance seul, le sommeil se fait sentir. Conclusion, c'est fini pour aujourd'hui, c'est l'heure du dodo !

12/07/2007

Q.I.-zine

Bonjour, et bienvenue à notre nouvelle émission de cuisine, "Cuisinons dans les bois, pendant que la marmotte mange du chocolat".
Alors aujourd'hui, qu'allons nous préparer? Nous allons préparer de succulents muffins pour votre goûter !
Vous êtes prêts? C'est parti !
Alors, que nous faut-il quoi pour préparer ces délicieux petits gâteaux? En gros, comme ça, pour faire la pâte il vous faut :

  • de la poudre (j'ai choisi la farine, remplacez par du plâtre si vous n'en avez pas, pas de cocaïne, ça attaque le moule),
  • du goût (sucre ou autre saloperie qui bousille les dents),
  • un liant (de la colle a tapisserie, de l'oeuf, ... choisissez votre arme),
  • un truc pour que ce soit moins pâteux (de la flotte, de la bière si vous êtes riches, moi j'ai pris du lait parce que je suis encore plus riche),
  • du gras (saindoux si vous en avez, autrement mettez du beurre, et si vous n'avez aucun des deux, faites comme moi et mettez de l'huile de mais).

Maintenant, veuillez suivre la recette :
  • Tout d'abord, il faut mélanger toutes les poudres, mais comme aux USA il est dur de trouver les poudres séparéments, on achète un mélange de poudre tout prêt (farine + sel + panificateur non identifie pour remplacer la levure).
  • Pour cela, il faut mesurer chaque truc en quantité précise, donc commencer par prendre un verre doseur parce que vous n'avez pas de balance, puis pestez un bon coup parce que les USA ne sont pas encore arrivé à un stade d'évolution suffisant pour utiliser les unités SI (vous savez, le mètre, le kilogramme et autres unités de mesures totalement incohérentes bien évidemment, puisque 99% des pays du monde les utilisent !). Je reprend, donc, pestez un bon coup contre ce système impérial de merde, puis prenez versez une quantité suffisante de poudre dans le bocal en évaluant la quantité en grammes souhaitée de visu. Versez la poudre dans le saladier qui va vous servir à travailler. Commencez à mélanger le mélange pré-mélangeé, juste pour faire comme écrit sur la recette, et pour faire genre "Ouais, chuis trop puissant, je cuisine !".
  • Si vous avez réussi cette étape sans mettre trop de farine à côté du saladier, passez à la suite, autrement inspirez puis soufflez fortement sur le plan de travail pour vous débarasser de cette cochonnerie, et recommencez la première étape.
  • Préchauffez le four pour pouvoir cuire le futur fruit de vos efforts. Pestez encore une fois et donnez un coup de pied au four afin de vous soulager de la conversion de °C vers °F.
  • Prenez un bol, mettez-y le liant et le truc, que vous avez dû mesurer auparavant (n'oubliez pas de pester lors de la conversion de L vers cup), puis touillez-moi tout ça !
  • Pestez parce qu'une personne vient vous embêter dans votre art, puis jetez-lui tout objet lourd et/ou coupant et/ou perforant que vous avez sous la main.
  • Prenez le goût, pestez encore un petit coup contre le verre doseur, crachez dedans, puis mesurez la quantité souhaitée, pestez parce que le goût ne ressemble pas à ce que vous attendiez (futur article !) et le mettre dans le saladier avec la poudre avant de mélanger.
  • Ajouter le gras au bol, en l'ayant préalablement fait fondre s'il était solide, pestez pour mesurer le gras, puis touillez encore !
  • Débarassez-vous définitivement du verre doseur, il ne vous servira plus pour cette recette.
  • Versez le liquide dans le solide au fur et à mesure en remuant fermement...
  • Contemplez votre préparation, pestez intérieurement parce que c'est beaucoup plus compact que ce que vous attendiez.
  • Allez chercher un moule spécifique, pestez parce qu'il est sale (du gras et des morceaux d'il y a quelques mois), lavez-le à la Javel, puis après l'avoir essuyé, versez une dose raisonnable de pâte dans chaque emplacement...
  • Placez le moule au four, en essayant de ne pas vous bruler, bande de maladroits !
  • Patientez le temps imparti, puis sortez le moule du four, et les muffins du moule. Posez les dans un plat pour qu'il refroidisse, et s'il vous reste de la pâte, répétez le processus.
  • Lorsqu'il n'y a pas de place, léchez les plats ou lavez-les, au choix, puis appelez des amis, si vous en avez, pour dévorer vos muffins.
Si l'audience est suffisante, je vous donnerai d'autre recettes de cuisine à la Française aux USA dans une prochaine émission.

Article écrit sur fond de Lostprophets...

Ooooooooh ! Le zouli sondage ! --->

Mes bien chers amis, comme vous n'avez pas manqué de le constater, un sondage a fait son apparition en cet espace sacré. Je pense que vous avez très rapidement compris ce qu'il fallait faire, je passe donc sur le mode d'emploi...
Ce dont je veux vous instruire ce soir, ce sont des tenants et aboutissants de chaque choix.

Moi :
Si pour toi, ce blog doit être une vitrine de mon âme et de mon corps (ooooh oui !), alors prends ta souris, ce choix est pour toi !
Tu t'es toujours demandé sur quel côté je dormais? Si j'aimais méditer sous la pluie? Si je pétais à table? Alors prends ta souris, ce choix est pour toi !
Tu veux savoir comment se passe ma journée façon Jack Bauer ou façon Loft Story? Alors prends ta souris, ce choix est pour toi !

USA :
Si pour toi, ce blog doit être une vitrine des USA, alors prends ton portable et tape 2 !
Tu t'es toujours demandé quel est le poids moyen d'un moineau américain? Tu as toujours voulu savoir si les américains sont des êtres vils, fous, irrationnels et violents? Tu aimerais savoir si les américaines sont comme dans les films? Alors prends ton portable et tape 2 !
Tu t'es toujours demandé à quoi ressemblent les USA, ses villes, ses habitants, ses monuments, ses restaurants, ses chefs réputés, son goût immodéré pour la bonne bouffe et le bon goût? Alors prends ton portable et tape 2 !

HS :
Si pour toi, ce blog doit être prétexte à un délire omniprésent, omnipotent et omniscient, alors prend ta tête, et tape la contre le mur !
Tu t'es toujours demandé comment mixer une bombe de chantilly? Pourquoi, en Bretagne, la pluie ne tombe que sur les cons? Si une plume et une bille de plomb arrive en même temps au fond de l'eau après les avoir lachées en même temps? Alors prend ta tête, et tape la contre le mur !
Tu as toujours voulu... Bwahahahah ! Hihi ! Hoho ! Huhu ! Hein? Non ! Non ! Pas la tête ! Aïe ! Non, pas le baillon ! Nonnmwhuuhuuuu !

L'ambulance s'en va vite en m'enportant...


Dessin :
Si pour toi, ce blog doit être un lieu de test et d'expérimentations artistiques, alors prends tes jambes à ton coup !
<-- Zavez vu? Suis un artisteuh ! (Promis, si vous votez 4, je m'applique)

Vous pouvez modifiez vos votes si vous le souhaitez, donc profitez-en, dans une grosse semaine ce sera trop tard...
Bisous tout le monde !